On appuiera au plus quatre centres, et on n'appuiera qu'un centre par domaine prioritaire en sciences et en technologie (S et T).
On invite les candidats à consulter la liste des 17 centres financés à la suite des deux premiers concours du programme des CECR lorsqu'ils élaborent leur proposition. En outre, ils doivent être conscients du fait qu'au moment de la sélection finale des propositions, le comité vise l'équilibre du portefeuille pour s'assurer que les domaines prioritaires en S et T et les domaines sous-prioritaires définis par le Conseil des sciences, de la technologie et de l'innovation (CSTI) sont couverts adéquatement afin de maximiser les retombées du programme des CECR.
Dans le cadre du concours de 2010, le programme cherchera à financer les centres qui mettent l'accent sur la commercialisation, y compris à la fois les biens et les services. Dans le contexte du programme des CECR, on définit la commercialisation comme étant toute activité d'une entreprise qui permet de transformer les connaissances et les technologies en biens, en procédés ou en services nouveaux en réponse aux besoins du marché.
Ces renseignements se trouvent à la section F, Sommaire de la demande pour diffusion publique, du formulaire 2010 des lettres d'intention des CECR.
Oui. Bien que les fonds du programme des CECR ne puissent servir à appuyer des activités menées à l'étranger, les collaborations et les partenariats à l'échelle internationale sont non seulement reconnus, mais aussi fortement recommandés. Dans leur demande, les candidats doivent entre autres décrire comment ils vont attirer les investissements (y compris les investissements étrangers directs et le capital de risque), établir des relations avec les grands centres et programmes de recherche internationaux et faire connaître le Canada comme un pays abritant des centres d'excellence de renommée internationale en commercialisation des résultats de la recherche.
Sont admissibles les sociétés sans but lucratif (nouvelles ou existantes) créées par des universités, des collèges, des organismes de recherche sans but lucratif, des entreprises ou d'autres parties non gouvernementales intéressées.
Il n'est pas nécessaire que les centres soient constitués en société au moment de la demande. À l'étape de la lettre d'intention, le Secrétariat des RCE acceptera les demandes des organisations au nom du centre devant être constitué en société. La demande doit clairement décrire la structure de gouvernance pour le centre proposé, et en quoi cette structure répond aux exigences de constitution en société. Avant de toucher les fonds du programme des CECR, tous les centres retenus dans le concours doivent prouver qu'ils sont constitués en société (au niveau fédéral ou provincial) et qu'ils ont établi un conseil d'administration chargé d'approuver leurs vérifications et leurs rapports financiers annuels.
L'université, le collège, l'organisation de recherche sans but lucratif, l'entreprise ou toute autre entité non gouvernementale qui a créé le centre. Un centre déjà constitué en société peut constituer son propre hôte.
Uniquement si l'organisation hôte est une société sans but lucratif admissible ou si elle présente une demande au nom du centre devant être constitué en société (voir la question 6 ci-dessus).
Le cas échéant, l'organisation hôte sert de secrétariat administratif au centre. L'hôte s'assure que le centre est doté de locaux adéquats et a accès à des systèmes informatiques, communicationnels et financiers appropriés.
Il n'y a pas de lignes directrices concernant le nombre de partenaires. Cependant, on s'attend à ce qu'ils soient les MEILLEURS participants possible (la proposition doit le démontrer). Il n'y a aucune attente ni exigence de représentation géographique.
Les contributions versées au centre par la firme de consultance ou l'entreprise dont le demandeur est propriétaire unique ne sont pas considérées comme des fonds de contrepartie à la subvention du programme des CECR. Lorsque le demandeur en a la propriété partielle, la situation est considérée au cas par cas. Le requérant doit communiquer avec le Secrétariat des RCE pour obtenir une décision sur les cas particuliers nécessitant une clarification.
Les fonds du programme des CECR peuvent être consacrés aux frais admissibles d'exploitation et d'entretien du centre. Ils peuvent servir à couvrir jusqu'à 50 % du total des frais de commercialisation admissibles et jusqu'à 75 % du total des autres frais admissibles, le reste provenant de sources non fédérales. Consultez l'annexe D du Guide du programme des CECR de 2010 pour obtenir de plus amples renseignements au sujet des dépenses admissibles et non admissibles.
Même si les centres de recherche peuvent également recevoir des fonds du programme des CECR, toutes les activités de recherche du centre doivent être financées à même d'autres sources que la subvention du programme des CECR.
Certaines pièces d'équipement essentielles peuvent être acquises, mais on s'attend à ce que les fonds servent majoritairement à des activités d'exploitation et d'entretien, et non à l'acquisition d'infrastructures comme l'équipement. Jusqu'à 20 % du total des frais de commercialisation admissibles, jusqu'à concurrence de 1 M$, peuvent être consacrés à des équipements essentiels à la commercialisation, en autant que ces fonds ne soient pas admissibles à d'autres programmes fédéraux comme ceux de la Fondation canadienne pour l'innovation.
Le mandat actuel des CECR est fixé à cinq ans.
Non. Les finalistes n'obtiendront pas d'aide financière pour la production d'une proposition détaillée.
Non. Le conseil d'administration du centre doit avoir la responsabilité financière des fonds du CECR. À cette fin, le centre doit être prêt à recevoir les fonds du programme des CECR avant le 31 mars 2010. Les centres retenus devront prouver qu'ils ont mis en place des processus adéquats d'administration financière pour gérer l'argent des organismes subventionnaires.
Les lettres d'appui doivent provenir d'un cadre supérieur et contenir des engagements précis quant à l'appui en espèces ou en nature. Une organisation qui présente une lettre d'appui doit explicitement y mentionner le centre proposé, en indiquant comment ce dernier l'aiderait et quelle est la nature de ses liens actuels et antérieurs avec le demandeur.
La lettre d'intention doit décrire comment les questions de PI devraient être abordées dans le centre proposé.
Le Comité de direction des RCE prend la décision finale, en se basant sur les recommandations d'un Conseil consultatif du secteur privé (CCSP).